Frédéric Reydellet est né en 1957, quelques gènes familiaux enrichissant d’entrée le terrain de sa passion marquée pour les sports mécaniques !
Son arrière-grand-père, Joseph Offrey, crée en 1914 le premier grand garage automobile de Saint Etienne, dans la Loire, à la veille de son départ pour la guerre. Qu'il confie, le temps du conflit, à sa secrétaire ! En 1910, fin technicien, il s'est déjà singularisé en construisant une automobile baptisée "Epsilonne", symbole d’une très faible quantité… et pour cause, puisque quasiment unique ! Le "Garage" du 3 Rue Valette représente ensuite les marques Chenard et Walcker, Clément Bayard, Delahaye, Panhard, Talbot, Darracq, Rosengart, Mathis puis Amilcar et fait office "d’hôtel pour automobiles" à une heure où les parkings n’existent pas encore et où les immeubles disposant de places de stationnement - d’anciennes remises ou écuries pour les attelages - sont rares en centre ville ! Les "notables" régionaux, premiers adeptes de ces automobiles naissantes se retrouvent souvent au Garage au retour d'une expédition, trop heureux de s’y conter leurs exploits mutuels autour… d’un bon cigare ! A charge de celui qui finit la boîte de la remplacer.
Plus tard, son grand-père, Joseph Reydellet, sergent-pilote aviateur au cours de la première guerre mondiale reconverti à l'automobile, puis son père, Michel, né dans le "bain" de l'auto et de la mécanique, rallyman amateur dans les années 50 et 60, dirigent la destinée des Garages Réunis, devenus alors Concession Simca puis Fiat. Mais le décès prématuré de son père coupe malheureusement court au destin familial de la société.
Dès sa plus tendre enfance, Frédéric se passionne pour l'automobile et la moto. Il remplace, sitôt l'heure venue, ses premières Dinky Toys - plusieurs centaines ! - par l'échelle 1 à deux puis quatre roues, tout en apprenant son métier de photographe publicitaire. Il devient parallèlement photographe puis journaliste pigiste pour le compte des revues Echappement, Auto Hebdo et Slick, fréquentant assidûment les épreuves automobiles pendant une vingtaine d'années. Il écrit son premier livre en 1989, relatant l'histoire du sport automobile dans sa région natale, le Forez, développant là sa collecte sans fin du document d'archives qui vous change la face d'un livre !
Perpétuant sa quête de la vérité historique, il publie dès le début des années 2000 une collection de six volumes sur l'histoire sportive de la marque Triumph, "Triumph en Compétition", recensée dans le moindre détail, des années 30 aux premières TR2 de 1954, jusqu'aux TR7 V8 de 1980. Du jamais vu, même au Royaume-Uni !
La rencontre, toujours passionnée, souvent attachante, de nombreux rallymen européens de renom ayant piloté des Triumph d'usine ou privées lui donne l'envie d'aller plus loin encore sur ce chemin des "battantes". Avec "La Mini au Rallye Monte-Carlo", il offre aux lecteurs une nouvelle et fascinante histoire, fourmillant d'anecdotes recueillies auprès des acteurs de cette merveilleuse aventure, celle d'une voiture mythique sur le terrain de ses plus beaux exploits entre les mains des meilleurs pilotes européens.
Tout en captant avec passion et persévérance l'ambiance inégalable de ces années d'or des sports mécaniques…
En 2015, il publie "Annie Soisbault, Au danger ton plaisir, Championne..." sous cette coloration plus personnelle et plus intime que salue la presse spécialisée, fruit d'une relation amicale de près de quinze ans avec la grande Championne française qui débuta en compétition au volant... d'une Triumph en 1957, justement ! Signe du destin.
Le livre fait revivre l'ambiance à la fois passionnée et un peu brouillon, souvent improvisée, des grands rallyes des années 50, tout en amenant à la découverte d'une femme passionnante et atypique, titrée Championne d'Europe des Rallyes en 1959 : son gout du risque, son adrénaline galopante pour la victoire ou la réussite dans les affaires, sa vie mondaine, son parler sans concession !
En 2015, il publie "Annie Soisbault, Au danger ton plaisir, Championne..." sous cette coloration plus personnelle et plus intime que salue la presse spécialisée, fruit d'une relation amicale de près de quinze ans avec la grande Championne française qui débuta en compétition au volant... d'une Triumph en 1957, justement ! Signe du destin.
Le livre fait revivre l'ambiance à la fois passionnée et un peu brouillon, souvent improvisée, des grands rallyes des années 50, tout en amenant à la découverte d'une femme passionnante et atypique, titrée Championne d'Europe des Rallyes en 1959 : son gout du risque, son adrénaline galopante pour la victoire ou la réussite dans les affaires, sa vie mondaine, son parler sans concession !
Un ouvrage fait d'encre, de papier et de passion pensé pour les passionnés !
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Quelques souvenirs familiaux…
Ou le pourquoi du comment !
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1957 : Joseph Offrey (à droite) accueille dans les salons de l'Automobile-Club du Forez
à Saint-Etienne, l'industriel local Paul Grousset, alors magnat du boulon dans l'industrie automobile mondiale et mécène avant l'heure des compétitions dans le Forez
ainsi que le constructeur automobile Amédée Gordini.
ainsi que le constructeur automobile Amédée Gordini.
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Ils ont été nombreux et si chaleureux à me faire partager leurs souvenirs…Les accueillir sur mon stand à l’occasion d’un salon demeure toujours un grand bonheur ! Et un honneur... De gauche à droite, de haut en bas, Annie Soisbault et Alain Bertaut, Sir Stirling Moss et son épouse Susie, Bernard Consten et Annie Soisbault, Annie et Willy ou encore, en bas à droite, Roger Barbara et Claude Dubois. De merveilleux moments ! |
